• N'hésitez pas à donner votre avis !!!

     

    Critque internet

     

    Critique 1 :

    L'histoire est des plus basiques. Cinq filles doivent participer à un tournoi suite à un pari de leur professeur. L'intérêt de la série se trouve avant tout du côté des personnages. On a ainsi une belle palette de caractère avec l'héroïne taciturne, la capitaine enjouée, la fille a double personnalité ou encore l'absentéiste affable.

    Le dessin est agréable et précis avec des personnages très réussis. On sent bien les différentes émotions qu'ils ressentent et ils ont de temps à autre des têtes vraiment amusantes. Pendant les combats, on a aussi des cases montrant à la fois la fille et son visage derrière son casque ce qui est utile pour voir ses émotions. On voit aussi leurs yeux de différentes façons à travers le casque ce qui ajoute une touche humoristique appréciable.

    Les décors sont assez dépouillés et vides. Le dessinateur se concentre davantage sur les personnages en favorisant les plans rapprochés.

    L'humour véhiculé par la série ainsi que les personnages attachants devraient en faire une des comédies les plus prometteuses de la prochaine saison. J'éditerais les images et mon avis sur l'anime après quelques épisodes.

    Au niveau de l'anime maintenant, la réalisation est de très bonne facture. le character design est bien détaillé et l'animation d'une fluidité exemplaire. Les combats sont pour leur part rythmés et dynamiques. Du côté des décors, c'est agréable même si on peut regretter un certain manque de variétés. On a enfin de très bons effets de lumière comme lors du crépuscule.

    Le casting est impeccable avec des doubleurs parfait dans leurs rôles. On retrouve entre autres Katsuyuki Konishi (le doubleur de Kamina dans Gurren Lagann) pour Kojirou, Akira Ishida pour Eiga et Houko Kuwashima pour Miya-Miya. La doubleuse de Tamaki fait aussi merveille avec un timbre de voix complétement détachée qui correspond parfaitement à la personnalité de la jeune fille.

    L'opening est entrainant sans être particuliérement marquant. Seul le refrain reste en tête après le visionnage. L'ending est une petite balade qui se laisse écouter et conclue bien les épisodes. A noter qu'ils sont chantés par les cinq doubleuses principales de la série.

    Je vous renvoye à la fiche d'Assuran Zala sur le kendo pour conclure.

     

     Critique 2 : 

    Bamboo blade est une petite série bien sympathique, sans prétention cependant. Les personnages sont attachants, on retrouve des pointes d'humour et quelques clins d'œil qui rendent la série très agréable à regarder.

    Au fil des épisodes, les personnages, ainsi que leur caractère, sont bien approfondis, un peu au détriment de Kojirou (le prof de Kendo dont le perso est mis en avant lors des premiers épisodes de la série). Le design est soigné, bref, Bamboo blade se regarde très bien. Sans être mon animé favori (loin de la), je le suis régulièrement. Si vous aimez le kendo, et les séries comédies, essayez.

     

    Critique 3 : 

    À l'égard de Prince Of Tennis ou encore Initial D qui ont su tailler leur part du gâteau parmi les séries incorporant l'univers sportif, Bamboo Blade est une œuvre qui a su aussi tirer son épingle du jeu dans son propre registre.

    Le récit nous narre le quotidien d'un club de kendo en mélangeant adroitement le caractère sportif de cet animé à des passages tranche de vie. Le pari est bien réussi puisqu'en s'appuyant sur ces deux axes le scénario nous permet d'avoir une image de l'univers du kendo à travers ses règles, sa pratique ainsi que l'esprit qu'on y cultive, tout cela à travers un traitement léger sans approfondissement mais réaliste. L'aspect "slice of life" quant à lui nous parfume de diverses émotions via les différentes étapes sociales et sportives que les membres de ce club de kendo devront surmonter, même si certaines d'entre elles restent prévisibles. C'est ce concentré d'humour, de sportivité et tout le reste qui me donne envie de crier au génie pour cet animé qui se clôture sur une fin honorable.

    L'animation est correcte, les scènes de d'affrontement nous sont parfaitement retransmises. Les graphismes sont colorés et vivants, se mariant parfaitement à l'atmosphère et aux décors que nous offre la série. Le chara-design loin d'être d'un haut niveau est toutefois irréprochable selon moi sur ce qui nous est proposé car les figurants sont très jolies à regarder dans leurs différentes actions.

    Le tableau des protagonistes quant à lui est une vraie réussite car j'ai trouvé que chacun d'entre eux dégageait un caractère et une attitude particuliers, grâce à bon développement de cet aspect de la part des réalisateurs, qui permet de rendre les protagonistes tous très attachants. Ils sont tous adorables et mignons à que ce soit Kojirou, leur entraineur personnage irresponsable, Kirino la capitaine de l'équipe, incarnation de l'insouciance, la joie de vivre possédant une arme secrète son sourire tout mignon et Tama-chan la surdoué, très attachante à travers son attitude "otakuesque". Bref la liste serait longue, le travail accompli à ce niveau me semble impeccable et est une réussite.

    Les OST sont sympathiques et les thèmes musicaux caractérisent très bien l'ambiance rafraichissante que dégage Bamboo Blade. Nous avons donc à la baguette :

    - Opening : BAMBOO BEAT interprété par Ryou Hirohashi, Megumi Toyoguchi, Sachiko Kojima, Houko Kuwashima & Rina Satou.

    - Ending : STAR RISE toujours interprété par les mêmes artistes.

    J'ai beaucoup plus ri en regardant cet animé qu'en visionnant les deux saisons entières de School Rumble. Bamboo Blade est une série très agréable qui se regarde facilement et m'a donné l'impression d'avoir rempli dans sa totalité sa fonction de divertissement. Au plaisir de la revoir.

     

    Critique 4 : 

    Que dire sur cet anime après avoir lu les deux premiers tomes du manga ? Il vaut le détour malgré les quelques différences entre les deux.

    Avec des personnages aussi hauts en couleur, Bamboo Blade à tout pour plaire. Chacun a son caractère bien particulier et ne réagit pas de la même manière au kendo que les autres. Leur personnalité fait qu'ils se remarquent au premier coup d'oeil et qu'on ne les oublie pas tout de suite.

    L'action de l'anime se déclenche suite à un simple pari et l'on croit que Bamboo Blade sera très court mais des rebondissements surgissent, rallongeant celui-ci.

    Le bémol de cet anime est la suppression du fait qu'un des personnages fume, ce qui affecte la plupart des évènements de l'histoire (la rencontre entre Saya et Miya-Miya par exemple). N'ayant pas lu la totalité du manga, je n'ai pas pu relever d'autres différences pour le moment.

    Verdict : Anime drôle, de bonne qualité et avec des personnages attachants. 26 épisodes à voir absolument ! Une saison 2 sortira t-elle un jour ?

     

    Critique 5 :

    Bon je me dois de vous aviser que quand je fait une critique, je ne lis pas celle de ceux qui en ont fait la critique avant moi, je ne veux pas que cela affecte mon propre jugement, mais z'inquièter pas je les lis quand même après.

    Bamboo blade, que dire, personnellement moi j'ai adoré, la qualité des personnages est très bien réussi et l'histoire est très belle. Bon on a un prof un peu stupide sur les bords, une capitaine qui fait un peu trop de zèle, la timide qui ce laisse marché sur les pieds par un peu tout le monde, l'hyperactive de service en recherche d'elle même, une desaxée, un affreux petit gogolle et le mec un peu sympa avec tout le monde, et ce sans oublié la prodige de première année qui a un peu oublié de vieillir (Et de grandir).

    Vous mélanger le tout et ça devient pratiquement un soap américain. Mais serieusement le tout est bien ficellé selon moi et il n'y a pas vraiment de longueur, on ne retiens pas son souffle non plus.

    Bamboo blade est un anime mignon, avec juste une petite dose du coté sexy des anime japonnais, mais de très bon gout, longue jambe grosse poitrines mais ce que je trouve jolie c'est qu'on ne voit pas de slip, ni de soutien-gorge, donc mes amis un peu plus pervers vous allez être déçu car cet anime ne mise pas sur le sex pour se faire aprécier.

     

    Critique 6 :

    Bamboo Blade nous présente le quotidien d'un club lycéen de kendo de façon réaliste. Le problème c'est que soyons franc, le quotidien c'est parfois chiant...

    Le graphisme de bonne facture est très représentatif de l'anime : beaucoup de couleurs vives, de beaux décors mais rien de transcendant. Le chara-design est assez réussi même si les graphistes ont eu de nouveau recours à des couleurs de cheveux saugrenues pour mieux différencier les personnages.

    L'animation n'est pas le point fort de l'anime, notamment durant les phases de combat où il se passe toujours un peu la même chose. Ce défaut est peut être du autant aux règles rigides du kendo qu'au manque d'imagination du réalisateur.

    Les 2 génériques sont quant à eux très bons, bien rythmés et la BGM est très discrète donc très agréable. Les doubleurs ont également fait du bon boulot, même si les cris des combattantes en début et cours de match finissent par vraiment saouler.

    Si elle n'entre pas dans le panthéon des OST, la bande son de Bamboo Blade est donc franchement irréprochable.

    Mais parlons maintenant de ce qui fâche : le scénario. Celui ci reprend tous les codes des séries "sportives" : un surdoué arrive dans un club moribond et le ressuscite, ils font tous des efforts ensemble, grâce à leur amitié ils triomphent d'adversaires pas toujours fair play, mais comme ils sont gentils et qu'ils se sont beaucoup entraînés (délaissant au passage toute vie sociale) ils finissent quand même par gagner à la fin.

    Le fait qu'il s'agisse exceptionnellement de filles n'influe absolument pas le résultat final : c'est ultra classique, et malheureusement aussi un peu gonflant.

    La série souffre d'un manque de rythme dû probablement à la devise des scénaristes "1 évènement, 1 épisode". Certaines fins d'épisodes nous laissent supposer un grand coup de théâtre qui chamboulera tout, mais malheureusement l'incident qui pourrait susciter un peu plus d'intérêt est résolu en quelques minutes...et tout recommence comme s’il ne s'était rien passé.

    Bamboo Blade n'est pas vraiment ennuyeux, mais un peu trop sage : j'aurais apprécié un peu plus de folie dans cette histoire. Tout cela est trop linéaire, trop prévisible.

    Heureusement, les personnages viennent un peu sauver tout cela. J'ai beaucoup aimé la douceur de Tama, l'excentricité de Kirino et surtout la double personnalité de Miya-Miya. La salade composée de personnalités très différentes permet de relever un peu le goût de cette série.

    Enfin, il est bon de signaler que même si les protagonistes sont féminins, il n’y a aucune trace de fan service dans cet anime, ce qui est rarissime de nos jours.

    En conclusion, les qualités de Bamboo Blade peuvent être aussi vues comme des défauts. Certains y verront une série paisible, mignonne et sans prétention nous racontant de façon réaliste la vie de 5 kendokas. D'autres y verront un anime insipide, avec une histoire monotone manquant de rythme.

    La vérité est probablement un peu tout cela à la fois. Pour ma part, j'ai plutôt tendance à voir en Bamboo Blade un anime reposant avec des personnages sympas. Je le déconseille toutefois aux férus d'action, ceux ci seront certainement déçus....

     

    Critique 7 : 

    Bamboo Blade est un très bon divertissement et pourtant le programme ne laissait rien envisager de bon : l’histoire de 5 filles qui forment un club de kendo, quel concentré de fan service ou de romance à l’eau de rose cela nous réserve-t-il ?

    En commençant la série, on ne peut s’empêcher d’avoir un à-priori négatif : la réalisation semble bâclée en plus d’être terriblement conventionnelle, le scénario semble plat et ne pas devoir s’emballer, le petit gros qui ressemble à un œuf est extrêmement agaçant avec sa petite amie dont il ne cesse de scander le nom…

    Et pourtant Bamboo Blade est une pure réussite. Une série rafraichissante qui cumule humour, sport et slice of life avec maestria. En commençant par une palette de personnages tous plus ou moins originaux en particulier l’héroïne, un génie du kendo haut comme trois pommes tout ce qu’il y a de plus mignon qui se révèle être… une pure otaku au caractère quelque peu introverti. Néanmoins certains personnages semblent abandonnés après les périples qui agrémentent leur introduction dans le groupe.

    Bamboo Blade c’est surtout un concentré de bonne humeur car la série se veut un éloge des activités sportives en dehors des cours qui profitent tant au moral qu’à la bonne intégration de chacun en société. Sur ce point la série parvient à convaincre tellement on observe l’influence positive du sport sur les caractères de chacun des membres de l’équipe. Le tout servi par un humour de bon niveau avec un sensei égocentrique à souhait et une otaku on ne peut plus kawai.

    Et surtout la série n’aborde pas le kendo de manière trop avancée et c’est un plus. Les combats restent secondaires et à la fois simples et réalistes. Des épisodes didacticiels suffisent amplement à nous mettre dans le bain d’un sport très peu prisé chez nous autre occidentaux et on comprend vite les subtilités du sport. Si l’on compare cet aspect avec les théories techniques ultra-space et sophistiquées présentes dans les premiers épisodes de Ookiku Furikabutte, c’est vraiment une bouffée d’air frais.

    Bref pour ceux qui aiment les animes traitant de sport, de camaraderie et de bonne humeur, c’est un véritable régal.

     

     Critique 8 :

    Alors que l'animation Japonaise compte une pléthore de séries mettant en scène samouraïs et autres bretteurs spécialistes de l'arme blanche, rares sont celles à mettre en scène des adeptes du kendo dans le Japon contemporain; sur ce point, Bamboo Blade présente donc déjà une approche originale.

    On suit donc au fil des épisodes les péripéties d'Ishida, jeune enseignant à qui la chance semble irrémédiablement faire défaut, sauf en ce qui concerne le kendo et l'entraînement de ses élèves, lesquels présentent des caractères divers et variés, et ne sont finalement liés que par leur attrait pour les combats au shinai (sabre en bambou). Au fur et à mesure que l'histoire avance, on découvre peu à peu les motivations de chacun (élèves comme professeurs), et les épreuves qu'ils doivent affronter pour s'améliorer. Celles-ci sont d'ailleurs le plus souvent liées à leur caractère (manque de confiance, trop d'agressivité, manque d'intérêt, solitude...) qu'à leur niveau de technique, certaines situations n'ont d'ailleurs que peu de rapports avec les arts martiaux. Pourtant, chaque personnage croise, révèle et traite (en partie) ses faiblesses au travers des affrontements et des diverses rencontres avec les élèves d'autres clubs.

    Les personnages ne manquent pas de caractère, et sont développés de manière convaincante. Certains réservent d'ailleurs leur lot de surprises, comme la championne de kendo qui est une véritable otaku dans sa vie courante, ou le couple de lycéens aux caractères (et physiques) totalement opposés...comme quoi, "l'habit ne fait pas le moine". Si l'on s'intéresse essentiellement aux pratiquants du club de d'Ishida, les différents adversaires et personnages croisés ne manquent pas de variétés: la plupart sauront se montrer honnêtes et attireront indéniablement la sympathie du spectateur; d'autres feront preuve d'un esprit particulièrement tordu (et souvent comique) pour vaincre ou aider nos jeunes kendokas et enfin, quelques uns se montreront particulièrement malhonnêtes et prêts à tout pour arriver à leur fins. Qu'on les apprécie ou non, aucun ne laisse indifférent.

    Parlons maintenant du point essentiel de la série, à savoir les duels. Ici, pas d'attaques extraordinaires se terminant à grand renforts d'explosions avec son et lumières, pas de déplacements impossibles à suivre à l'œil nu, et pas non plus de techniques secrètes de derrière les fagots avec un nom imprononçable. Dans cet anime, c'est le réalisme qui prévaut. Il serait cependant malavisé de croire que les combats sont statiques et manquent de rythme: les attaques et parades s'enchaînent, et l'on ressent aisément la violence des coups portés à l'adversaire.

    Même constat sur l'entraînement: même s'il est clair que les personnages sont doués et ont plus ou moins d'affinités avec les combats, on comprend en suivant cette série que rien n'est dû au hasard ou à un miracle: chacun s'entraîne durement en essayant d'améliorer son niveau pas à pas. Il n'y a pas non plus de personnage qui soit particulièrement mis en avant: si certains sont plus doués, c'est uniquement parce qu'ils ont commencé à pratiquer depuis des années, mais même avec toute leur expérience et leur technique, ils devraient se méfier des petits nouveaux qui pourraient les rattraper un de ces jours, et personne n'est à l'abri d'une erreur de jugement.

    Bamboo Blade est donc une très bonne série, bien réalisée, dotée d’un humour convaincant, faisant preuve d'originalité quant à son scénario et au traitement de celui-ci. A regarder obligatoirement si vous en avez assez des "super combattants de la mort qui tue, que même avec dix litres de sang en moins dans les veines ils arrivent à sortir une attaque de la puissance d'une bombe atomique".

    Tout ce qu'on peut souhaiter pour cet anime, c'est qu'une deuxième saison de même qualité soit produite sous peu.

     

    Critique 9 :

    Pour réussir la recette de l'animé de sport, il vous faudra comme ingrédients:

    - un(e) jeune surdoué(e) sans peur et sans reproche

    - une galerie d'amis pour accompagner

    - des adversaires plus ou moins honorables

    - une défaite pour l'amertume

    - une grosse pincée de camaraderie pour l'émotion,

    Faites cuire à feu doux et servez chaud.

    Cette recette est appliquée à la lettre dans Bamboo Blade où l'on retrouve toutes les ficelles du manga sportif ainsi qu'une touche personnelle qui lui donne son originalité.

    Le scénario est archi classique avec l'histoire de ce club de kendo où l'héroïne s'engage un peu par hasard et où finalement elle trouve une sorte de rédemption, un endroit pour grandir. Ils font face aux coups du sort ensemble, pas l'ombre d'animosité entre eux car ils sont tous gentils tout plein. Cela pourrait être énervant s'il n'y avait pas les adversaires pas toujours fair-play et l'on se prend à vouloir à ce que nos gentils kendoka leur en mettent plein la tête, histoire de leur apprendre les valeurs supposées du sport.

     

    Critique 10 :

    La touche d'originalité, vu de France, est que cela se passe dans le monde méconnu dans nos contrée du Kendo. Ainsi on est moins frappé par les incongruités que l'on connaît dans d'autres célèbres séries de ce type. Pas de terrain faisant trois kilomètres de long, par d'action se déroulant pendant des plombes où le héros pourrait réciter toute l'oeuvre de Shakespeare avant de toucher le ballon.

    L'autre avantage de cela est que ça donne plus de place à l'histoire elle-même, au développement des autres personnages qui, au final, ont une place quasi aussi importante que Tama-chan. Ce qui est d'ailleurs intéressant puisque cela permet de percevoir un peu plus le contraste entre les problèmes de notre surdouée et ceux des autres. Entre l'une qui fait du kendo comme elle respire, mais la respiration est un réflexe inconscient et finalement elle doit prendre conscience de ce qu'elle fait et pourquoi elle le fait, et les autres qui sont plus besogneux qui connaissent l'amertume de la défaite et qui ne cherchent qu'à progresser.

    Le tout est servi par une réalisation très classique mais efficace. Rien d'exceptionnel mais cela se regarde. Il en va de même pour le graphisme qui ne brille pas par son originalité mais qui sait à certains moments être détaillé. L'OST, lui non plus, n'est pas particulièrement remarquable mais il est efficace avec un opening dont la mélodie reste facilement en tête.

    Tout ceci donne une série agréable à regarder à défaut de renouveler le genre, on passe un bon moment et c'est le principal. La fin laisse penser à une seconde saison en perspective avec l'introduction de nouveaux personnages et de nouvelles adversaires pour Tama-chan. Je pense que j'aurai plaisir à la regarder si jamais elle sort.

     

     Critique 11 :

    La France est le pays qui possède le plus de licencié de kendo en Europe. Il faut dire que ce sport est aussi une philosophie de vie un peu à la manière de l’escrime. Bamboo Blade décrit bien la pratique quotidienne du sport tout en offrant de la bonne action à gogo. Les héroïnes ont chacune une personnalité propre qui permet au lecteur de s’attacher à l’une d’elle comme dans une série télé. À ranger en tête des manga sportifs.


    votre commentaire
  • N'hésitez pas à donner votre avis sur cet anime

     

    Critique Internet

     

     Critique 1

    On a affaire à une histoire classique, un jeune homme se retrouvant dans un 'autre monde', ici à l'ère Edo. On peut déjà noter une différence entre le manga et l'anime, le premier possédant beaucoup plus de scènes d'humour mais je trouve qu'avec l'anime qui en a supprimé à un bon nombre l'histoire est beaucoup plus agréable à suivre.

    Au niveau de la réalisation de l'anime, on a le droit à quelque chose dans les standarts actuels du studio Deen, au même niveau qu'un Kyo Kara Maoh ou Shônen Onmyôji : Simple, pas extraordinaire mais agréable à regarder.

    Le manga possède un dessin assez classique pour du shônen, rien d'original de ce coté là.

    L'opening de l'anime est plutôt réussit avec une très bonne musique et des images sympas, c'est surtout l'ending qui marque : de beaux dessins et une musique magnifique !

    En fait le gros problème avec cette série, c'est que la qualité des épisodes est assez inégal : un jour l'épisode est sympa, un jour il est totalement ennuyant; du coup je ne sais pas trop quoi penser au final... une série sympatique ? Oui mais pas toujours...

    En conclusion Amatsuki est un shônen classique et moyennement efficace, à essayer uniquement pour tout les amateurs du genre et ceux appréciant les histoires légères et d'action se déroulant dans le japon médiéval, certain peuvent aimer, d'autre non.


    Critique 2

    Que dire d'un anime pareil...

    En ce qui concerne l'intrigue, l'histoire est à peine prenante au début : l'ère Edo, les samouraï, des démons, des dieux... Mais à mi-chemin, l'histoire se penche vers une enquête banale qui va durer jusqu'à la fin et qui banalise les concepts abordés au début. À la fin de l'anime, on se demande s'ils n'ont pas oublié un épisode ou deux pour finaliser : rien n'est réglé, tout reste chamboulé. Bref, une intrigue catastrophique.

    Les personnages, le bon point de l'anime, sont beaux, jonglent bien entre amitié et amour, mais deviennent répétitifs à la longue.

    L'OST est moyen avec un opening et ending qu'on écoute juste pour la première fois, sinon on les fait passer sans rancœur.

    Les graphismes sont corrects, mais il y a nettement mieux pour un anime produit en 2008.

    Donc, personnellement je ne voudrais en aucun cas revoir un anime du genre. Je n'invite de ce fait personne à le regarder.

     

    Critique 3

    Pour tout vous dire, il a fallu que je m'y reprenne à deux fois pour voir cet anime en entier...

    En effet, le début ressemble beaucoup à ce qu'on peut trouver dans nombre d'autres anime : le clampin de base qui se retrouve projeté dans un monde médiéval fantastique X ou Y, où il va se trouver des supers pouvoir et tout et tout...

    MAIS : la série décole d'une manière très correcte, et on se rend vite compte que le super héro dont je parlais ne l'est pas tant que ca, et surtout que cet univers est bien plus réaliste que la majorité des univers médiévaux fantastiques : il n'y a ni méchants, ni gentils !

    C'est un point de départ très important, et qui m'a permis de continuer, épisodes après épisodes, à regarder cet anime. On y va de surprises en surprises, et je n'ai à la fin qu'un seul regret, qui se trouve aussi être la pièce maitresse de cet anime : La fin.

    Je ne spoïlerai rien du tout, mais je peux juste dire qu'on reste sur notre faim d'une manière assez impressionnante, mais d'un autre côté que l'équipe de réalisation nous ouvre les portes d'un univers très bien construit, en nous disant : maintenant, à votre tour de vous amuser avec...

    J'ai beaucoup apprécié cet animé qui, sans être spectaculaire, est bien divertissant et sort des chemins de l'habituel monde méd-bourre qui tache, avec les gentils d'un côté et les méchants d'un autre.

     

    Critique 4

    Amatsuki n'est certes pas une série novatrice mais cela ne l'empêche pas d'avoir des qualités.

    L'histoire est assez banal avec un héros ordinaire qui se retrouve placé sur un piédestal par tout un peuple, parce qu'il aurait soi disant des pouvoirs capables de détruire les vilains pas beaux et qui est entouré d'une équipe improbable. Vu et revu sous tous les angles, même en tenant compte de son voyage dans le passé malgré une explication un peu différente. Ce qui change peut-être un peu est le fond. Alors que ce genre d'animé se contente de combats sans queue, ni tête, Amatsuki surprend par la quasi absence d'action. Pourquoi? Tout simplement parce que la limite entre Bien et Mal est très abstraite, le scénario se concentrant sur les alliances qui se font et se défont, même s'il tous ont un ennemi commun dont, malheureusement, on ignore beaucoup trop de choses. C'est agréable pour une fois de voir un peu de "stratégie" et des personnages qui sont souvent ambigus.

    Bien évidemment, les personnages sont bien traités dans l'ensemble. Tokidoki se présente comme le héros type, c'est à dire minable au début puis qui découvre sa force cachée. Néanmoins, cette impression est fausse. Il reste le même et, bien qu'il possède en effet quelques pouvoirs mal définis, il ne les utilise quasiment jamais et préfère régler les problèmes par des mots. Ok, ca peut paraitre bébête mais ses discours sont assez vrais et ne manquent pas de réflexion. Lui-même se cherche et ses talents de négociateurs lui permettent de trouver un début de solution. Pour l'épauler, Shinonome, rebelle, intelligent et beau gosse, bref, le protagoniste de base; Kuchiha, femme samouraï mystérieuse qui cache un secret mal expliqué. Elle est le meilleur personnage car complexe, seule, maladroite et très peu réceptive à la gentillesse que lui témoigne Tokidoki car elle ne sait pas comment réagir. Les autres protagonistes sont plus flous sur leur intentions et leur camps mais encore une fois, c'est la force de la série.

    Le seul point qui me chagrine est la fin. Tout laisse à penser qu'une suite est prévue vu l'énorme fin ouverte à laquelle nous avons droit. Voilà le problème car si une suite est prévue, je dis que c'est une bonne saison. Par contre, si la série s'arrête là, tout l'intérêt disparait car il manque beaucoup d'explications sur le pourquoi, sur les véritables ennemis, sur les origines de certains personnages principaux, bref, le genre de détails que l'on se doit de mentionner ne serait-ce qu'un peu. Malheureusement, j'ai peur de ce coté.

    Le chara-design est très correct sauf pour Tokidoki qui jouit d'une paire de mirettes démesurée. Allez savoir pourquoi il est le seul à avoir ce défaut mais c'est flagrant. Pour le reste, il n'y a rien à dire. Le travail est fait mais pas au point de prendre l'animé comme modèle. Les décors sont très jolis, ce qui joue énormément sur l'ambiance.

    Par contre, la musique est fadasse. On ne retient rien et à vrai dire, on ne cherche pas à en savoir plus.

    Si on prend les éléments séparément, Amatsuki n'est pas incontournable mais l'ensemble donne un animé agréable, qui divertit suffisamment pour qu'on est envi de voir la suite (si suite il y a). Quand on a rien à se mettre sous la dent, voilà le genre de série qui comble les vides.


    votre commentaire
  • Génériques

     

    Opening : Kimi to Deatte Kara

    Kimi to deatte kara

    kokoro wa akaruku terasarete

    onaji jikan wo zutto sugoshite kita yo

     

    kimi ni kaketai kotoba wa itsumo

    mune no poketto no naka ni shimatta mama de

     

    taisetsuna kimochi to wakatteru kara

    itsuka no tame ni atatameteru yo

     

    tooku nari hibiteru chaimu no oto ga

    boku no kokoro wo kasoku sasete

    kaze no you tsuki nukeru oosora he

     

    kimi to deatte kara

    kokoro wa akaraku terasarete

    onaji jikan wo zutto sugoshite kita yo

     

    soshite shimatta mama no kotoba wo

    tsutaeru toki ga kitara

    "kimi wa boku no taiyou"

    towa no hohoemi

     

    bokura no purorogu

    kono tokimeki no monogatari

     

    Ending : Hohoemi wo Agetai

    Moshimo sabishiku hekonderu nara koe kakete

    chikaku ni iku kara nayami hanashite mina yo

     

    hitori de itara warai kata mo wasureru sa

    hohoemi wa dare ka to kawasu mono dakara

     

    nee kyoushitsu no mado mieru mirai wa

    hizashi abite hirogatte iru yo

     

    Smile at me

    egao wa kitto genki ni naru kikkake da yo

    sukoshi demo hohoemi wo agetai kimi ga sugu ni

    kao wo agete aruki dashiteku sono tame ni


    2 commentaires
  •  
    Génériques
     
    Opening : REZON DEETORU

    REZON DEETORU

    Raison d'être

     

    Ah ikutsu mo no yoru wo koeta

    Ah, rêves gelés et larmes disparaissantes,

    Kootta yume to kieyuku namida

    Vous qui avez traversé tant de nuits,

    Warm me, Warm me, Wrap me

    Réchauffez-moi, réchauffez-moi, enveloppez-moi...

     

    Ichido subete wo wasureta hazu na no ni

    Je croyais pourtant avoir déjà tout oublié une fois,

    Hito wo aisenai kono mi ga nikui

    Mais je déteste ce corps qui est devenu incapable d'aimer.

     

    Doko made aruite mo owari ga mienai

    Quelle que soit la distance que je marche, je n'en vois pas le bout,

    Kako no kioku wo michizure ni

    Je traîne avec moi les souvenirs du passé.

    Kono mi wa nani iro de somariyuku no darou

    De quelle couleur ce corps sera-t-il peint?

    Kotae wo sagashite iru

    Je cherche la réponse à cette question.

     

     

     

    Ending : Danzai no Hana ~Guilty Sky~


    Danzai no Hana ~Guilty Sky~

    Fleurs coupables ~Ciel coupable~

     

    KOKORO... mada ANATA no KIWOKU no naka de

    Mon coeur... reste enfermé dans tes souvenirs.

    KARADA... sagashiteru tarinai WATASHI wo

    Mon corps... J'en recherche un, pour moi qui n'en ai aucun.

    Kyou mo dokoka de dareka no nagasu namida

    Aujourd'hui encore, quelqu'un verse des larmes quelque part

    Tsumetaku warau sadame wo ikite iku koto

    A force de vivre un destin qui rit froidement.

     

    Nakusenai mono nigirishimenagara

    Tenant fermement ce que je ne peux pas perdre,

    WATASHI wa ima mo koko ni iru no

    Je me tiens ici maintenant.

     

    Karenai hana wa utsukushikute

    Comme la beauté d'une fleur qui ne flétrit pas,

    Yuruginai omoi wo mune ni sakitsuzuketa

    Des sentiments ancrés n'ont de cesse de s'épanouir dans mon coeur.

    Chigireta kumo no danzai no sora

    Les nuages se sont déchirés dans le ciel coupable.

    Tomaranai kanashimi wo dakishimete ita

    J'ai étreint d'interminables remords.


    votre commentaire
  • Episodes

    1 - Barusa, la femme garde du corps

     

    2 - Le chasseur et la Proie

     

    3 - Combat à mort

     

    4 - Les écrits de Torogai

     

    5 - L'étape secrète : La Main Bleue

     

    6 - Mort Sur l'Aogiri

     

    7 - La décision de Chagum

     

    8 - Forgeur d'Épées

     

    9 - La Soif de Shuga

     

    10 - La Terre et le Héros

     

    11 - Du Vin Fleuri pour Tanda

     

    12 - Le Festival du Solstice

     

    13 - Ni Homme ni Tigre

     

    14 - Le Nœud

     

    15 - Mort Précoce

     

    16 - En Toute Sincérite

     

    17 - L'Incendie du Moulin

     

    18 - Le Village d'Antan

     

    19 - Fuite

     

    20 - Vers la Grotte des Chasseurs

     

    21 - Jiguro Musa

     

    22 - L'Heure De l'Eveil


    23 - A la Poursuite du Sig Salua

     

    24 - Le Dernier Espoir

     

    25 - Cérémonie

     

    26 - Départ


    votre commentaire